° Comme promis, je re-publie mes premiers articles. Ils ne seront pas tous là, je m'aperçois que certains sont d'un total inintérêt °je le pensais déjà mais j'en ai la confirmation à la relecture°. Je ne vous inflige donc que ceux qui me paraissent utiles pour comprendre l'évolution de ce blogg et ceux qui évoquent des événements importants à mes yeux.

Encore un paradoxe 

Sensation bizarre, immense soulagement, sentiment un peu surnaturel. Une Renaissance après un deuil. Inespérée et irréelle. Drame absurde qui finit bien.

°Premier Article !° | 30 octobre 2006

° Voilà enfin le premier article de mon blog !

Il faut quand même préciser que ça fait 1 an que j'ai envie d'en avoir un,
2 mois que j'ai décidé de le créer et 3 semaines que cette adresse existe ! Admirez ma rapidité pour prendre des décisions...

Je ne sais pas encore ce que je vais y mettre, j'ai plein d'idées mais il faut le temps de faire le tri, et puis la mise en page est à arranger, mais ne vous inquiétez pas, Ô vénérables Lecteurs, tout ça devrait changer très vite ! °

P.S.: C'est aussi la 4ème fois que je rédige cet article, j'espère que cette fois c'est la bonne parce que j'en ai un peu marre de tout recommencer à chaque fois à cause d'une fausse manipulation... Aaah c'est beau la technologie...

Publié par Swani à 19:53:41 dans °Journal paradoxal° | Commentaires (4) | Permaliens

°Blogs° | 02 novembre 2006

° Vous ne pouvez pas imaginer comme c'est difficile de commencer un blog ! Enfin si, en fait vous devez le savoir, parce que presque tout le monde a un, en tout cas presque tous ceux qui risquent de lire cet article. Mais ça a l'air tellement facile pour eux !

Je connais plein de blogs qui sont vraiment excellents, drôles, bien rédigés et super originaux... et moi je me retrouve devant ce stupide carré blanc avec l'inscription "Texte" au-dessus et je ne sais pas quoi écrire.
L'angoisse de la page blanche, version moderne. J'ai plein d'idées, plein d'envies, et tellement peur de me rendre compte après coup que cette idée fantastique que je viens d'avoir, c'est tout simplement ce que je viens de lire sur le blog d'une amie !

Pour éviter que ça ressemble aux blogs des autres, j'ai commencé par choisir une autre plateforme d'hébergement que skyblog (c'est aussi parce que je trouve ça moche les skyblog, et puis parce que j'aime pas skyrock, ok c'est léger comme argument mais skyrock c'est vraiment nul) je vous raconte pas la galère pour trouver un hébergeur qui me plait...

Mais maintenant il va falloir le remplir ce swalamandre.blogg (Laurent, merci pour le nom, sinon je serais encore en train d'hésiter !). Et là, les choses se compliquent car à peine avais-je mis ma présentation en ligne qu'une avalanche de protestations s'est abattue sur moi... autrement dit (et en virant l'hyperbole) on m'a fait remarquer que je m'étais fortement inspirée d'un autre blog et je m'en excuse, ça n'était pas mon but, j'avais noté la ressemblance, certes, mais pour moi ça n'était qu'une petite parodie ironique. Je rectifierai ça très bientôt, promis.

Mis à part ce détail, il y a aussi le problème des sujets que je vais aborder. D'un morceau je ne voudrais pas que ça soit tout et n'importe quoi, et d'autre morceau je ne vais pas parler UNIQUEMENT de la dernière dissert' de Géo que j'ai faite (même s'il y aurait beaucoup de choses passionnantes à dire là-dessus).

Alors finalement (vous avez vu comme il est bien structuré cet article ? à faire pleurer un prof de Français !) j'ai décidé quelque chose : pour changer je vais arrêter de me prendre la tête, je vais écrire ce que j'ai envie d'écrire, de raconter, et puis c'est vous qui me direz ce que vous en pensez ! Vous trouvez que c'est un peu ça, le principe d'un blog ? Eh bah ça tombe bien alors ! Et si vous vous dites : "mais alors pourquoi elle se pose autant de questions ?" eh bien sachez que c'est ma caractéristique principale de me poser des questions inutiles, et puis ça s'appelle pas Journal Paradoxal pour rien ! °

Publié par Swani à 18:09:03 dans °Journal paradoxal° | Commentaires (3) | Permaliens

Jus de Kiwi° | 08 novembre 2006

° Les repas, avec certaines personnes tarées de mon entourage, virent parfois à l'Anarkniffe la plus totale.

Prenons un exemple simple et concret : le déjeuner de ce midi.

Tout d'abord, il a fallu trouver une table. Ou plutôt réserver une table. Et pour ça, il faut s'y prendre à l'avance. Sur ce coup-là, on pouvait pas faire mieux, on était les premiers à entrer dans le self. On a choisi la plus grande et on en a rajouté une petite au bout. Le repas a débuté dans le calme. Et puis les retardataires sont arrivés les uns après les autres.

Si je ne me trompe pas, les présents étaient Arnaud, Camille, Dafnouille, Julien, Lamia, Léa, Léo, Marc, Marinette, Nanou, Rémi, Romain, Sébastien. (°Je suis sûre que j'oublie quelqu'un mais je ne pouvais pas voir la tablée entière, si vous identifiez l'absent, merci de me le signaler°) Chacun délirait gentiment avec ceux qui l'entouraient... jusqu'au dessert.

(Changement d'atmosphère, baisse de l'intensité lumineuse, musique stressventre)

Hum...
nan. Parce que c'était pas de la mise en scène. C'était la VÉRITÉ VRAIE qui se déroulait sous nos yeux effarés, et c'est ça qui fait peur.
Impossible de savoir qui a eu l'idée saugrenue de vouloir faire du JUS avec l'orange qui devait nous servir de dessert. Mais il a rapidement été imité par la moitié de la table. Je sais pas si vous êtes au courant mais quand on plante un COUTEAU dans la pulpe d'une orange et qu'on la presse, ça GICLE dans tous les sens. Oui, bien sûr, vous êtes au courant. Peut-être même avez-vous eu l'occasion, dans votre vie, de recevoir du jus de cette orange assassine dans l'oeil. Mais avez-vous déjà été assailli par une PLUIE de jus d'orange ?

Comme vous vous en doutez, le pire n'était pas encore arrivé. Car l'orange n'était pas le seul fruit proposé. Il était également possible d'opter pour un KIWI (c'est trop bizarre ce mot, kiwi, vous trouvez pas ?) Là, y en a qu'un qui était assez taré pour vouloir en faire du jus : Juliouf. Nan, yavait Léo aussi. Mais c'est quand même Juliouf qui a eu l'idée.

Juliouf avait pris ce kiwi parce qu'il ne se souvenait plus du goût de cet aliment exotique. Quand il l'a ouvert pour mettre à exécution son inspiration créatrice, il a découvert que le coeur du kiwi est blanc. Et ça lui a fait peur. Quelqu'une dont on ne citera pas le nom a eu la bonté lui expliquer que ça n'était pas dangereux, c'était juste l'ADN du kiwi. Bizarrement, ça n'a pas eu l'air de le rassurer. Donc il a pressé la pulpe verte en coutournant délicatement le coeur. Enfin il a essayé. "Aaaaaah nan ! Ya du blanc qu'est tombé dans le veeerre !" (suivi d'un récupérage tout aussi délicat de coeur de kiwi au fond du magma verdâtre)

Après le massacre du malheureux fruit néo-zélandais (je sais pas si ça vient vraiment de là-bas, ça m'est venu comme ça, je sais pas pourquoi. Ah si. Je viens de comprendre. Le Pays-du-Kiwi-en-Folie), il a fallu se rendre à l'évidence : le jus avait une apparence étrange mais il semblait tout à fait comestible. Tout à fait indigne de l'artiste culinaire cité ci-dessus. Une solution a été rapidement trouvée : rajouter du jus d'orange. Au départ, il voulait que le résultat reste hétérogène, mais ça faisait joli, alors il l'a bien touillé. Et là, le mélange est devenu vraiment terrifiant.
Bien sûr, Juliouf a bu tout le contenu de son verre. Ou plutôt mangé, parce qu'il avait laissé toute la pulpe de l'orange. "Bof, yavait un peu trop d'orange" (moue déçue) Le tout sous l'oeil étonné de Loïc, le surveillant. Qui en revenait tellement pas qu'il a parlé. Depuis la première fois depuis le début de l'année d'après moi. Il a demandé ce qu'il était en train d'avaler. Quand on lui a dit "orange-kiwi" il a dit : "Ah ben ça va, c'est sain ! Encore, t'aurais mis du jus de paupiette, j't'aurais respecté, mais là..." Je crois qu'il n'a pas encore cerné la personnalité de Julien, faut être fou pour dire des choses pareilles devant lui, j'ai peur que ça lui donne des idées pour le prochain repas... °

Publié par Swani à 22:46:35 dans °Journal paradoxal° | Commentaires (2) | Permaliens

COMMENTAIRES

12-11-2006 20:13  12-11-2006 20:13
...  De  ju  Sujet:  ...
pfffff du jus de paupiette, il me prend pour qui??? c'est beaucoup trop petit! UN jour je montrerai au monde(ou plutôt au self l'ampleur de mon imagination, quand le moment sera venu... gnark gnark
10-11-2006 22:29  10-11-2006 22:29
alala  De  Luna  Sujet:  alala
Mais quelle bande de tarés ! Franchement j'aurais bien aimé être là pour admirer ce carnage. Grâce (enfin nan, pas du tout, plutôt A CAUSE !) de ma prof de maths qui a chamboulé mon emploi du temps, la seule fois où je pouvais manger avec cette bande de kniffes dégénérés a été remplacée par un cours de maths. Vous pouvez pas savoir le calvert (euh... ça s'écrit bien comme ça ?) que ça peut être. Oui vous pouvez pas savoir, parce que vous connaissez pas ma prof de maths (Grrrr !) ! Mais bon voilà, c'est la vie... Sur ce bonsoir, et si vous avez d'autres recettes dans ce genre, faites m'en part !

°Le bonheur tue l'inspiration° | 15 novembre 2006

° Mais pourquoi c'est quand on va bien qu'on n'a plus rien à dire ?

Quand j'ai commencé ce blog, j'étais un peu déprimée, j'avais tout le temps envie d'écrire un article pour me plaindre, pour dire que °ouais vraiment la vie c'est pas juste des fois °. Et puis je me suis retenue parce que je trouve ça inutile ces articles. Ou alors faut avoir quelque chose à dire derrière. Pas juste se plaindre.

Mais depuis la rentrée ça va mieux... et je sais plus trop quoi écrire. C'est stupide (lol j'ai fait exprès pour le "stupide"), je parle tout le temps, beaucoup, trop même, pour ne rien dire en plus, on me l'a dit et je le sais bien. Et puis voilà, maintenant que je devrais avoir plein de choses à raconter sur ce blog, maintenant que je me sens bien, je sais pas, je bloque. Peur de dire encore des choses sans intérêt. Alors je dis rien. Et ça m'énerve. Et ça se sent, y en a qui ont du s'en rendre compte. On peut prendre ça pour de l'agressivité, mais c'est juste que j'en ai marre de moi. Résultat, alors que j'ai pas de raison de me plaindre, je me plains encore.

Cet article est stupide, je le supprimerai demain ou après-demain, mais là j'ai envie de le publier, alors pour une fois je vais marquer ce que j'ai dans la tête même si je trouve ça con ce que j'ai écrit et même si je dis que je suis pas contente alors que mon article était fait pour dire que j'étais contente... bref, paradoxe une fois de plus, mais c'est pas grave. °

Publié par Swani à 22:55:45 dans °Journal paradoxal° | Commentaires (6) | Permaliens

°L'administrateur de blogg.org m'a répondu !

Hier soir... je n'arrivais pas à le croire, j'avais préféré ne pas espérer et là, sous mes yeux légèrement + aqueux que d'ordinaire, un mail, personnalisé en +, adressé à l'abrutie finie qui lui avait envoyé un pitoyable appel au secours 24 heures + tôt...

Bonjour Cécile,

Je suis bien désolé pour toi. On ne peut malheureusement pas faire grand chose. Un effacement est definitif. Et naturellement l'effacement d'un theme correspond également aux billets lui correspondant.

Une astuce a essayer : tu peux essayer, en recherchant ton blog, les titres des billets ou expression dont tu souviens, sur Google, Yahoo ou msn de retrouver certains billets en cliquant sur le cache du résultat.

Le cache des moteurs affiche des versions antérieurs correspondant au dernier moment ou le robot du moteur est passé sur ton blog. Il y a donc une chance de retrouver certain texte que tu pourra ainsi republier.

Amicalement

Laurent 

Ce mec est génial, ce mec est un dieu, je lui vouerai un culte passionné et inébranlable jusqu'à la fin de mes jours et à travers les siècles, j'en fais le serment solennel et ridicule. 

Et il ne m'a même pas fait remarquer que j'étais plus cruche que le galinacé en présence d'un instrument coupant, si on oublie le "naturellement" qui sous-entend insidueusement que quand même, c'est pas trop difficile à deviner quand on est doté de neurones.

Voilà, maintenant au travail, faut tout recopier... je ne sais pas si je republierai tout, certains articles étant d'un intérêt plutôt réduit. Le problème, c'est qu'il va falloir concilier ça avec le temps que je consacre à toi, aux autres, à ma famille, au lycée...° 

°Changement d'apparence. Deuil.

Hier soir, j'ai suicidé mon blogg.

Je suis la dernière des connes.

J'ai supprimé le Groupe principal (°Journal paradoxal°)

J'ai supprimé tous les textes qu'il contenait.

Je suis malheureuse.

Toutes ces heures à écrire, effacer, réécrire, mettre en page, modifier, remodifier...

Ce n'étaient que des mots, de stupides mots naïfs, ennuyeux, inutiles, pitoyables, narcissiques, déprimés, déprimants, consternants, précieux, personnels, honnêtes, drôles, appliqués, maladroits, révélateurs, ils étaient à moi, ils étaient moi et ils ne sont tout simplement plus.

Disparus effacés broyés anéantis.

J'ai failli pleurer. Hurler. Détruire le clavier. Je suis restée devant l'écran qui affichait les titres des 20 petits articles qu'il me restait. Non non non non non non non noN NON NON NON !

J'ai écrit un mail pour demander de l'aide aux administrateurs. Ils n'en ont rien à foutre de mes conneries donc ils ne me répondront jamais mais au moins j'aurai essayé.

J'ai plus envie de rire.

J'ai plus envie de dormir.

J'ai plus envie de rêver.

Je prends ça comme un nouveau départ. Sauf que j'avais pas choisi de partir.

Retrouvé des bribes d'articles çà et là... De quoi garder des souvenirs.°

° Pour une fois que j'arrive à couper msn pour écrire sur ce blogg, autant en profiter pour publier un nouvel article.

Au tour de la Physique donc.

Décrire le déroulement du cours pourrait être amusant au second degré, mais je n'ai guère l'esprit à me remémorer cette longue heure hebdomadaire afin d'y dénicher de quoi stimuler des zygomatiques indulgents. °Si vous saviez le temps que j'ai passé à trouver le mot "indulgent" dans les méandres de mon inspiration... N.B. : pour écrire + vite, couper la musique et dormir la nuit. La recette peut s'appliquer -paraît-il- à beaucoup d'autres activités.°

Je ne ferai aucune allusion à l'écriture du prof, bien qu'elle manifeste de troublantes ressemblances avec celle d'un élève au premier trimestre de son année de CP.

Je ne ferai aucun allusion à ses fautes d'orthographe, de syntaxe, d'accord, de conjugaison, de goût, de métier, bien qu'il ait affiché au tableau la phrase "Les gazs rejetés sont du CO2 et du méthane", écrit sur ma copie "Attention c'est une distance algébrique donc qui peut être prositif ou négatif", affirmé qu'"ils renvoyent les infrarouge".

Je ne ferai aucune allusion au fait que la physique utilise un vocabulaire déconcertant et tarabiscoté, bien qu'ayant relevé au cours de l'année les mots "paramètre organoleptique" "hydrogénocarbonate" "orthophénatroline" "thiocynate de potassium" "lycopère caroténoïde" "anthocyane"

Je ne veux en effet pas relancer la polémique opposant littéraires et scientifiques depuis des décennies, bien que la seule explication acceptable soit : ce prof n'est qu'un scientifique, ce n'est pas sa faute.

Je me vois donc contrainte de ne citer que ces deux phrases :

"C'est pas mortel" Déclaré par le prof (pour nous rassurer ?) suite à la dégustation d'eaux de source histoire de voir quelle différence il y avait entre elles --> certaines étaient pas bonnes et d'autres franchement dégueulasses.

"J'suis méga carnivore !" Là, je ne ferai pas de commentaire, Nanou a eu sa dose pour ce soir.°

° Ce week-end, triage de cours en vue de révision probable dans les jours à venir.
Et puis quand on relit d'anciens cours, il arrive que nos yeux se posent sur... les marges des cours !
Comme j'ai pas beaucoup de temps, je vous livre la liste comme ça, à la barbare... comprenne qui pourra !

En vert, les véritables vénérables paroles du prof de Maths.

"Gras sur vitre" [Peinture abstraite]

Les petits jésus roses ont une consistance incertaine.

Observer le tristogramme.

[Exercice sur la croissance des plantes] Les plantes croissent. Comme les grenouilles. Sauf que ces plantes ont eu un gain négatif. Elles ont eu de la malchance. Et cette plante, qui sont ses prédateurs ? Qui sont ses parents ? °Faut voir le vocabulaire qu'il emploie... il nous prend pas du tout pour des demeurés à part ça°

Leçon sur les suites : 26 occurences du terme "suite" et 47 occurences du terme "terme". Et encore, j'en ai loupé parce qu'à des moments j'écrivais le cours °un peu quand même° ou alors j'étais trop morte de rire.

Feuilles barbouillées de -_-' o_O -____-" °merci Cham°

[Exercice sur la taille moyenne d'une race de chiens] J'sais pas si vous avez déjà regardé un catalogue de chiens...

C'est Denver le prof.

La poignnée °à prononcer en accentuant bien "â" de "oi" le "gn" pour que ça soit moche -si on prend un air stupide c'est encore plus drôle-°

C'est toi l'épis de maïs ! ...Maïko ! °vive les références cinématographiques°

Et pour finir en beauté, les maximes du Grand Bitnik °emplies de sagessitude et je suis pas loin de le penser° :

Dans la vie faut pas trop réfléchir sinon on tombe en dépression.

La solution de la prison ça fait pas appel à ton intelligence.
Là faut replacer dans le contexte : il disait à V****** de se taire.

Réponse : Vous avez qu'à me déplacer.

D'où la contre-réponse : "Je veux pas te punir. La solution de la prison ça fait pas appel à ton intelligence"

Quelqu'un qui émergeait du coma : "Mais d'où il nous parle de prison ?"

Le prof : "C'est une métaphore..."

On l'aura bien fait souffrir quand même le pauve... Méritait-il ce sort alors qu'il est l'Homme-qui-a-rendu-le-goût-des-Maths-à-Nanou ? °Du moins a-t-il été sacré "meilleur prof de mal maths jamais rencontré" -lapsus corrigé à la relecture et ô combien révélateur !- par ses soins. Elle se serait même aventurée à déclarer "Il est trop fort ce prof, je l'adore. Il est TROP FORT."° °Nanou, ceci n'est évidemment en aucun cas, et ce de façon indiscutable, une vengeance de la part de mézigue, rapport à une conversation msn défectueuse, sortie de son contexte et lamentablement mal (ré)interprétée.° °Cham, je n'ai rien trouvé de compromettant mais je considère que nous sommes quittes suite à l'épisode "Spaghetti"°

Bref. Désolée(s?) Monsieur le Bitnik, vous avez été fun et vous avez eu bien du courage. Me risquerai-je à glisser un "merci pour votre inattention clémente face à nos infantilité" ? Ça se pourrait.°