• ° Bon voilà, c'est débile mais j'ai fait un test et comme ça j'ai l'immense satisfaction d'avoir toujours été lucide quant à mon état : 74% blog addicted.

    74%How Addicted to Blogging Are You?

     

    Bon, je vais lire 4 ou 5 blogs et puis je reviens écrire un article plus intéressant. XD °


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  • ° [5 jours] /ou plutôt 6/

    Ce soir [disons plutôt ce matin] pas d'analyse, pas de récit.

    Juste des mots, indécis, imprécis.

    Partir. S'enrichir. Vider son porte-monnaie, de façon raisonnée. Revenir. Etre parti. Et faire le constat. Avoir grandi.

    On ne peut mesurer qu'en s'arrêtant. Quoi que.

    On n'a conscience de presque rien dans le fond. La prise de conscience est postérieure. Et progressive.

    Pourquoi est-on + libre quand on s'endort tôt et loin que lorsqu'on s'effondre là ?

    Ne suis-je qu'une aveugle éblouie si je crois "être" quand je n'expire plus ?

    Non non, je n'étouffe pas. Au contraire. J'aspire à. [Inspiration]

    Ne me demandez pas comment, ni pourquoi, ni quand, ni si ça va ou pas, je n'en sais rien. Si, ça va. Très bien. Du moins je le crois ; les certitudes absolues sont rares.

    Bref. Revenir. Et des rimes. Autant qu'on veut, selon l'inspiration. Sourire, défaillir, devenir, fuir. Tout est son contraire, il n'y a pas de réponse.

    Grandir oui. De toute façon on n'a pas le choix, même si on ne le sait pas. Ce n'est qu'après.

    C'est la première fois que tout se passe bien. Je ne suis pas sûre qu'on puisse saisir la sensation de sérénité qui s'en suit. Je devrais l'avoir écrit au passé, pourtant ça n'est pas fini.

    C'est presque rien, juste une absence d'absence. En théorie, la double négation s'annule. Preuve en est que la vie n'est pas mathématique.

    Maintenant, je sais que j'aime vivre ici, mais que je peux aimer vivre ailleurs. En même temps.

    Maintenant, peut-être, une harmonisation avec le Temps pourrait être envisagée. Sereinement. Ma vie a l'autorisation de passer. °


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  • ° Vous connaissez les blagues par téléphone ?

    Oui bien sûr. Qui ne s'est jamais amusé à téléphoner à un inconnu : "Ce soir... on va venir de tueeer..." [N'est-ce pas T********** ?] ou bien, + drôle : "Allô ouiiii bondjour, ici Richard Cercueil, j'ai bien enredgistré votre demande de cercueil mais je voulais savoir, vous le voulez classique ou avec la forme des bras ? Est-ce que je radjoute des clous pour décorer ?"

    Donc oui, vous connaissez.

    Eh ben j'ai découvert un autre genre de blague. Hier soir. Enfin je connaissais le concept mais j'avais jamais expérimenté.

    Alors voilà.

    Vous décrochez. "Allô ? ... allô ?"

    Réflexion : Est-ce qu'il y a de la friture sur la ligne ? °elle est modr cette expression quand même°. --> Non, pas de friture.

    Est-ce que quelqu'un me répond ? °Oui en général c'est même la première question qu'on se pose avant de passer en mode "repeat"° --> Non

    Est-ce que j'entends des son ? --> Oui, des espèces de grattement.

    Allons bon. Vous êtes en relation avec une blague téléphonique. Inutile de s'humilier en répétant d'une vois plaintive "Allô ? Allô ? ALLO ??! Mais répondez à la fin, allô ?"

    Donc . . . Silence

    Silence . . .

    Silence . . .

    Clic. Ah, le blagueur s'est lassé, il a raccroché. Pas marrant. (Le blagueur blagué... ohohoh elle est bien bonne celle-là)

    . . .

    . . .

    . . .

    Driiing °Nan alors là, jvous explique, c'est pas la sonnerie de mon portable, qui n'en a pas puisqu'il est tout le temps en vibreur -sauf en cours de dessin, quand j'oublie de changer le mode "Normal" et que mon portable se met à siffler super fort... Oui parce que ma sonnerie de SMS, c'est un sifflement, genre le gars qu'essaie de se faire remarquer par une fille qui passe... Non c'est pas la honte. Mais presque. Bref, je m'égare, j'écris Dring pour qu'on comprenne que le téléphone sonne.°

    Donc je décroche à nouveau. Précision : aucun numéro ne s'affiche sur l'écran, c'est un appel "privé". J'ai toujours pas eu le temps d'éplucher le mode d'emploi du téléphone pour savoir si ça veut dire "masqué" ou si ça a une signification distincte.

    Silence

    Grattement

    Silence

    Qu'à cela ne tienne, je gratte en retour (les touches de mon téléphone)

    L'autre me répond en tapotant

    Je tapote du bout de l'ongle sur mon portable

    L'autre fait crisser je ne sais quoi

    Je tapote ma lampe de bureau avec une pince °Oui ya des trucs bizarres sur mon bureau, je sais°

    De l'autre côté de la ligne, ça croustille + ou moins

    Je fais tourner très vite les pages d'un bouquin

    etc.

    Je vous raconte pas les trésors d'imagination qu'il faut déployer pour trouver un nouveau son à produire dès que l'autre aura fini le sien.
    Grattage d'ongle sur tissu, collision de livres, claquement de langue, murmure inintelligible, secouage de bouteille d'eau... [j'me lance dans la prétérition =)]

    Bon, au bout de 5 minutes j'avais plus trop d'idées, alors j'ai dit "Bon allez, c'est l'heure de dormir, ya des gens qui travaillent demain" Ça a gratté "Bonne nuit" Re-grattage. J'ai rigolé et puis j'ai raccroché.

    Si quelqu'un reconnaît en ma personne son interlocutrice mystère de la veille au soir, il lui est gracieusement permis de se manifester... =) °


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  • ° J'ai retrouvé un bout de chapitre de philo égaré au milieu de tous les autres chapitres scolaires égarés dans la pièce qui me sert de dortoir. - Désolée, j'ai pas réussi à faire une phrase syntaxiquement + lourde.

    Comme l'a fait très justement remarquer Nanou : Comment [ai-je] pû oublier ce chapitre ??? Il s'appelle Devoir et Bonheur et il est intégralement sur la Morale ! N'est-ce pas magnifique ?

    J'ai donc fait quelques ajouts à mon dernier article, en bleu en italique. Bon courage pour tout relire, moi j'vais manger.

    Bonne soirée à tous !

    Incroyable comme j'ai RIEN à raconter dans cet article... 

    Si bah tiens, j'vous préviens maintenant comme ça, ça sera fait : je serai absente de dimanche à vendredi prochain (tout inclu). Donc pas de nouvel article. Je sais, vous trépignez, mais je fais ce que je peux. Donc oui, je suis prise au stage.° 


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  • ° Continuons cette le très riante liste philosophique à peine entamée il y a quelques jours et trois articles :

    J'ai retrouvé les cours d'initiation qu'on avait suivis l'an dernier.

    D'où il ressort :
    Que le prof disait déjà des trucs de ouf.
    Que j'écrivais beaucoup + gros, si j'avais continué à ce rythme, cette année j'aurais dévasté la forêt amazonienne.
    Que je faisais déjà des p'tits points partout dans les marges des feuilles quand je m'ennuyais °mais pourquoi Diable des petits points ?°.. : ' . : ' :
    Que j'écrivais des trucs bizarres dans les marges, genre ANATALA. Puis EVIDENCE PRESENCE PROVIDENCE. Puis Sunshine. Et un dessin d'oeil (tout ça dans la même marge). Plus loin, une salamandre obèse.
    Que Cham posait plein de questions indiscrètes au crayon de papier “A quoi penses-tu le + souvent ces temps-ci ? Comment vont tes relations ? Que penses-tu des relations des autres ?” auquelles je me gardais bien de répondre explicitement. Alors que j'avais rien à cacher.

    L'une des caractéristiques du cours de philo, c'est la question existentielle qui revient tous les 30 secondes dans le meilleur des cas : "Monsieur, vous pouvez répéter ?" Alors des fois, Monsieur... tiens si on lui trouvait un surnom ? Monsieur... Sweeney Todd ! Ouais, ça lui va bien, un nom de tueur fou qui chante, c'est lui tout craché ! Bon eh ben parfois, il en a marre. Alors il nous égorge pas, parce que sinon on lui ferait un procès (et puis parce que c'est le monopole de notre fermier historien), mais il s'amuse comme il peut :

    "Monsieur, vous pouvez répéter ?
    Sweeney : "Je rererererererererépète".

    "Vous pouvez répéter depuis le début ?"
    Sweeney : "De l'année ?"

    “Vous pouvez répéter à partir de “La durée est une question de rythme” ?”
    Sweeney : “A partir de la durée est une question de rythme.”

    Je me demande si le soir, quand il rentre chez lui, il élabore des répliques qui tuent pour le lendemain. En fait c'est pour ça qu'il se déplace à vélo : pour élaborer. Après, il peut ponctuer ses cours de phrases à double-sens °involontaire° et mots d'esprit.

    Nous avons achevé vendredi dernier l'étude détaillée (ô combien détaillée...) du livre I des Politiques d'Aristote. La lecture de cette oeuvre nous a plongé dans un sentiment d'exaltation difficilement répressible. D'où le "Bon les p'tits zamis, on écoute là." Genre on est ses potes, nan mais je rêve... Ya plus d'respect. C'est Nanou qui a lu le chapitre 10. “Vous pouvez reprendre votre souffle, on n'est pas pressés.” Nanou [grandiose] : “C'est parce que j'ai envie de savoir la fin, j'me demande comment ça va finir !”

    "La nature ne fait rien en vain, or de tous les animaux, seul l'homme a le logos. Vous imaginez les chiens qui se taillent une buvette au coin de la rue ?" Swani : "Une buvette ??" Cham : "bAvette" Sw : "C'est ridicule quand même."

    [Tentative d'écriture de la main gauche sur une dizaine de lignes, histoire d'avoir quelque chose d'enrichissant à faire]


    La démonstration

    Chapitre drôlissime. On retiendra l'histoire de Jaqueline la poule. “Tout dépend de votre cadre théorique. Dans notre monde, les poules n'ont pas de dents. Mais imaginons que je prends un vaisseau spatial et que je débarque dans un monde où les poules ont des dents. Je dois me défendre contre les martiens, si je fais ami-ami avec une poule qui a des dents, je lui trouve un petit nom, disons que je l'appelle Jaqueline, et après je dresse Jaqueline pour qu'elle attaque les martiens en les mordant. Bon eh bien là, le raisonnement -Toutes les poules ont des dents, or les canards sont des poules, donc les canards ont des dents- devient à la fois valide et en adéquation avec notre monde.”

    Ce cours a donné lieu à des raisonnements brillants : Supposons que je sois vert et martien, alors cela signifie qu'il y a des terriens qui ne sont pas martiens. Or il n'y a pas de terrien qui ne soit pas martien. Donc... je ne suis ni vert ni martien.

    La conscience, l'inconscient et le sujet :

    Lorsqu'il écrit ce texte, Descartes est déjà connu. Pour faire image, il est au milieu du guet.

    On s'aperçoit qu'on s'est trompé. Evidemment, quand on a le nez collé sur les vêtements l'événement, on peut se tromper.

    Les pensées, et donc toutes nos représentations qui prétendent avoir un contenu de réalité, sont disqualifiées. Car quand on dort, on a le sentiment de la réalité. N'est-on pas en permanence plongé dans une illusion ? Et là, vous avez reconnu le scénario de Matrix, très en avance sur son temps le p'tit René ! Tout le monde a fait ça, en 4ème, à la fin d'une rédac' qu'on savait pas comment finir, on est parti un peu dans tous les sens et puis hop "Et il se réveilla et se dit -Ouf, ce n'était qu'un rêve.” / Nanou : Comment il sait ??

    Intentionnalité : fonction de viser que permet le flux des vécus tel il détermine un champ temporel susceptible des objets d'émerger dans notre esprit. / Il a pas oublié des mots là, le gars Husserl ?

    Théorie et expérience :

    La démarche expérimentale : on observe les faits, on fait des hypothèses/on se creuse la cervelle -quelle ignoble expression quand on y pense- et on construit des expériences. L'hypothèse qu'on retient, c'est celle qui aura droit aux feux de la rampe.

    On n'observe pas une cause, on la suppose. Dans le cas des canaux sur Mars, on avait imaginé une cause bien fantasque. Et puis il y a cette histoire de l'orbite d'Uranus °Nan bon là c'est pas drôle mais... modr quand même =)°

    Il faut parfois débrouiller les chevaux l'écheveau des faits.

    On enfonce le clou avec le marteau de la logique.

    A partir de là, quid de Hume ? ... Me regardez pas avec ce regard tétanisé proche de la dépression ! / Cham : la tétanie est donc un signe avant-coureur de la dépression.

    Soit l'hypothèse : le polyéthylène flotte dans l'eau douce. Alors vous prenez un brave morceau de polyéthylène, tout ce qu'il y a de plus honnête, et vous lui dites “Vas-y petit, nage !”

    Instant mémorable : le schéma de la fontaine de 10,33 mètres de haut. Avec graduation et tout et tout. “Et tout en haut, qu'est-ce qu'il y a ? ... Qu'est-ce que j'ai dit de drôle ?” °Ne pas chercher à comprendre, merci.°

    Devoir et bonheur :

    On ne décide pas d'être heureux, comme si on se disait "ça y est ! Chuis heureux ! Hop là !... Le bonheur est lié à l'action. Comme quoi quand on fantasme sur les gars qui passent leur journée au bord de la piscine [mimant] le cigare aux lèvres...

    Les Epicuriens privilégient les sens. Par exemple l'ouïe, comme sentir une fleur.

    Il n'y a rien à craindre de la Mort. Le VRAI problème, c'est l'agonie.

    Il n'y a rien à craindre des dieux. Ils sont supérieurs à nous, pourquoi serions-nous intéressants pour eux ? Est-ce qu'on s'intéresse aux fourmis ? On n'est pas des fourmis surpuissantes ! Cham : Ouais, les dieux ça doit être des trucs trop chelou.

    Le travail et la technique :

    Monsieur Sweeney Todd a une dent contre l'automobile, c'est sûr. Si on avait noté tous les griefs dont on peut l'affubler, on aurait rempli une bonne page recto verso.

    “Oui mais Monsieur, les gens sont fascinés par la vitesse mais c'est parce qu'on se rend pas compte qu'on va vite...” “Oui bien sûr, les prisons sont remplies d'innocents...”

    La prise de contrôle du monde par les machines est impossible puisque les machines sont bêtes. C'est vrai, un ordinateur, c'est stupide comme animal. Les ordinateurs, c'est Renfield, vous savez, celui qui trie les ailes de mouches en attendant que le MAIIIITRE arrive...

    Le cacao, ça va bien un moment mais ça nourrit pas son homme.

    Temps, Existence et Mort :

    C'est comme saisir de l'eau avec les mains. L'eau c'est glissant.

    Vous connaissez Achille la Tortue ? C'est pas La Fontaine hein. / Swani : Achille La Fontaine, ça serait plus original que Jean. / Cham : Et Franklin la Tortue ?

    Le temps fonctionne un peu comme l'entretissement d'une corde.

    Et puis des fois, surtout le lundi soir de 17h à 18h, on est disons, quelque peu dissipés, c'est notre troisième heure philophobique de la journée. Alors, M. Sweeney Todd essaie de nous calmer :

    Alors on va étudier une stratégie de contournement, le falsificationnisme... bon, attendez la fin de l'heure pour tomber dans le délire pur. °Genre on n'y est pas déjà°

    A., qu'est-ce que je viens de dire ? Vous ne savez pas. Bon, eh bien j'étais en train de dire qu'A. est un fieffé coquin. [pince sans rire le prof] Bon. Donc ça ne répond pas au problème de l'induction.

    Bon allez, on se disperse pas.

    On ne profite pas de manière perfide et odieuse du fait que j'ai le dos tourné !

    Bon, sileeenceuh. [Virage dans les graves] SILENCEEEUUUh.

    Et parfois, au contraire, plus rarement, il pose une question tellement palpitante que tout le monde retient son souffle... et se garde bien d'émettre une réponse. Alors il essaie de nous motiver :

    Je vois qu'un morne silence s'abat sur la salle...

    J'ai l'impression de débarquer de Mars et de vous parler de la faune exotique avec des animaux à trois yeux.

    C'est bizarre, ça. Hein ? Vous le sentez que c'est bizarre ??

    Vous me suivez ? Qui ne dit mot consent, attention.

    Il y a donc une différence entre la notion et l'objet sur lequel porte la notion. Vous me suivez ? Là je me sens comme le mec qui fait un one-man show et qui se rend compte que la salle est vide. C'est un grand moment de solitude.

    Nan mais c'est vrai, c'est un peu tristounet pour moi, si vous participez pas...

     

    Mais faut pas le pousser à bout, sinon il sort de ses gonds : 

    Nan mais si vous commencez comme ça, bien sûr ! La Philosophie ça sert à rieeeen, la Musique ça sert à rieeeen, les trucs les plus palpitants dans la vie, ça sert à rien ! L'Amour ça sert à rien !!

    Pour nous convaincre, il s'adapte à notre niveau de langue :

    Quand on roule sur des chemins cabossés, je veux dire défoncés, [...].

    Et là il est, pour le dire très vulgairement, “au fond du trou”.

    Mais il a aussi ses petites préférences linguistiques, ses petites blagounettes et ses centres d'intérêt caucasses :

    Alors là, on a affaire à un immatérialiste, ce qui est assez piquant.

    Je parle d'un film au sens cinématographique.

    Là je reprends un terme que j'avais déjà introduit subrepticement.

    La mémoire est constitutive de la mémoire. °Bon j'avoue, sur ce coup-là, c'est sûrement moi qui aie noté n'importe quoi.°

    Bon je vais vous rendre le devoir sur Spinoza... C'est un catastrophe. NAN C'EST UNE BLAGUE ! [En levant les mains pour se protéger, prudent quand même]

    Grouncho Marx, vous savez, c'est le mec avec une grosse moustache et un gros cigare qui fait des blagues débiles mais drôles quand même. “Je ne supporterais pas de faire partie d'un club qui m'accepterait comme membre.” C'est drôle ! Bon, c'est un humour un peu intellectuel. °D'où il ressort que les blagues intellectuelles sont débiles.°

    Un raisonnement n'a de forme valide que si la conclusion est nécessairement vraie. Par exemple : Tous les professeurs de philosophie sont intelligents. Quelques personnes intelligentes sont ignares. Quelques professeurs de philosophie sont ignares. C'est vous dire si on peut arriver à des invraisemblances ! Bon eh bien c'est pareil pour le raisonnement suivant : Plus il y a de gruyère, plus il y a de trous. Plus il y a de trous, moins il y a de gruyère. Donc plus il y a de gruyère, moins il y a de gruyère. Parmi vos réponses, yavait vraiment des explications étranges. Enfin j'me suis bidonné, c'est toujours ça. °Ce prof est un sadique fier de lui. Un prof quoi.° De toute façon, il paraît que c'est l'emmental qui a des trous et pas le gruyère.

    Résultat ça se termine en quenouille cette affaire-là.

    Vous comprenez, si Dieu n'existait pas, elle se permettrait quelques joyeusetés la baronne...

    Dans ces cas-là, faut graisser la patte...



    On a appris à faire un bon commentaire :

    Parfois le thon ton est polémique. Parfois il est ironique à souhait.

    Le but c'est d'avoir une bonne note, c'est pas de donner son avis.

    La conclusion, c'est le numéro complémentaire, comme au loto, on peut gagner beaucoup d'argent en jouant le bon numéro. On tire les acquis du commentaire, c'est le bouquet final.



    Et puis bien sûr, le cours de Philo, comme n'importe quel cours qui se respecte, c'est un certain nombre de pensées à haute teneur hilarante, amplies de philosophitude, cela va de soi :

    Avec Cham, délire sur “Il m'aura TOUT fait !”

    Nanou qui découvre parmi ma toison d'ébène un CHEVEU BLANC “Putain c'est dingue on dirait du fil de pêche !” °Je suis VIEEEILLE !°

    Cham, si t'as une explication du "village triton" je suis preneuse, je me souviens que c'était drôle mais je sais plus pourquoi (peut-être un rapport avec le village et la tribu)

    Quel est l'état de l'environnement à laisser aux générations futures ? / Cham : Merci de laisser cet endroit dans l'état où vous l'avez trouvé.

    Bon, on ne va pas trop s'étendre... / Cham : Comme le linge.

    Cham : Vertu, ça fait penser à laitue.

    Trotinette : J'aime bien les oiseaux. Mais pas morts.

    Domaines qui peuvent prétendre fonder la connaissance : le sensible est le premier candidat. / Nanou : Pour le sensible, tappez 1.

    Kant s'intéresse à la science newtonienne. Vous savez, la gravitation universelle avec F= m pi sur d² / En choeur : Il va pas recommencer !!

    Trotinette : Quand il te regarde, il faut qu'tu pétilles !

    Cham : C'est comme si genre... t'es catholique... mais tu t'opposes à toute forme de religion.

    Nanou : C'est CON ! C'EST CON ! ... euh... pardon.

    Cham [pas con] : Puisque Dieu fait ce qu'il veut, il peut avoir créé un monde sans lui.

    Sweeney Todd : J'vous préviens, ya du jargon ! / Cham : on dirait du poisson.

    Cham : Y a un CROQUE-MITAINE SUR LE MUR !!

    Cham : Putain Marine tu vas pas faire ta loi, ok ?

    Cham : Les meringues c'est trop... tout seul.

    Cham : T'as une voix qui passe bien à l'oral.

    Swani : Pfff j'en ai marre / Cham : T'as perdu le conatus ? °





    ar contre, ya un truc insupportable chez ce prof. Je l'aime bien pourtant, malgré ce que j'ai l'air de dire. Mais franchement, Monsieur Sweeney Todd, par pitié. Arrêtez de voir de la confusion dans nos dissertations là où tout est clair comme de l'eau de caillou pour nous. Et SURTOUT. Mais là je suis sérieuse. Arrêtez de remplir nos marges de “soit.” Soit c'est BON soit c'est MAUVAIS mais c'est pas "SOIT." tout court !!


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