• ° Bon, il paraît que l'article précédent pouvait prêter à confusion. Alors celui-là est officiellement dédié à Cham/Tam le renard zébré du TGL, collectionneuse de Who says Booh à ses heures préférées.

    J'ai pas de fourmi en overdose ni de dégueuli de serpent, j'ai pas non plus de mèche frisotée à fétichiser dans mon porte-feuille, mais j'ai ton totem de Charles-Apollon et ton trèfle madgik. N'empêche qu'on pourra dire ce qu'on veut, il était dans ma calculatrice pendant l'épreuve de bac de spé maths et j'ai eu 20. Alors respect Cham, t'es vraiment omnipotente. [Est-ce que ça compte comme tentative de fraude le port de trèfle ?]

    Tout ça pour dire que c'est bien gentil l'Espagne mais faut rentrer maintenant.

    Tu (me) nous manques.

    Et puis Trotti aussi, alors t'arrête de jouer avec les fuseaux horaires et tu reviens. C'est pas bio là-bas.

    Le carnet de potesses est en train de s'incruster dans ma bibliothèque, il aimerait bien repartir pour de nouvelles aventures.°


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  • ° "Come, Night ! Come, [...] ! Come, thou day in night;
    For thou wilt lie upon the wings of night
    Whiter than snow upon a raven's back.
    Come, gentle Night; come, loving, blackbrowed Night :
    Give me my [...]; and, when he shall die,
    Take him and cut him out in little stars,
    And he will make the face of heaven so fine
    That all the world will be in love with night
    And pay no worship to the garish sun." 

    Rêver, "for the first time in my life".

    //
    A quoi bon se pourrir la vie à faire semblant ? Se demander, sérieusement, à quoi bon s'empêcher de dire "j'ai trouvé ça nul" si c'est ce qu'on pense. Qu'est-ce que t'en as à foutre qu'elles ne soient peut-être pas d'accord ? T'as peur que quelqu'un aille leur répéter ? C'est pas parce que tu t'écrases qu'elles trouveront que t'es quelqu'un de bien. Maintenant, libre à toi de rester un ratite toute ta vie.
    // 

    Un peu de calme, voyons. Faudrait pas que ce rectangle blanc devienne un déversoir à violence civilisée.

     

    Ce matin, j'ai dessiné des enfants modèles. Qu'est-ce qu'on ferait pas pour sauver la moyenne d'Allemand de son frangin. Illustrer de la propagande nataliste après s'être tapé 10 pages sur les différentes idéologies démographiques la veille, c'est paradoxalement drôle. "Bon je lui fais des jambes-bâtons, faut quand même qu'elle croie que c'est toi qu'a dessiné... Merde, sa main on dirait une moufle..." "... Merde pour lui. AHAAHahahaha." [Nous sommes cruels.]

    A part ça, j'écris des articles structurés de n.o.m.b.r.e.u.x connecteurs logiques, comme on nous apprend au collège, et ça force l'admiration. [Franchement, ça manque d'images ce blogg ces derniers temps, nan ?]
    Je tiens à présenter mes excuses au lectorat fidèle excédé par ces quotidiennes élucubrations sans fond. A l'avenir, cela se reproduira


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  • ° Il faudrait reprendre chaque phrase et l'analyser pour dénouer les fils de l'incompréhension. On est si maladroits quand on parle sincèrement.

    Je continue de dire que non, et il ne faut pas m'écouter plus que les autres.

    En effet, j'ai tout mélangé. J'aurais voulu dire que ces mots me touchaient, que j'y redécouvrais une part de moi, que je ne m'y attendais pas. Il y a longtemps, j'avais senti trop de mépris de toi pour les petites choses que nous fûmes pour croire qu'il en restait quelque chose de beau.

    J'ai tout mélangé, presque consciemment. Besoin d'abîmer ce qui m'a brusquement paru naïf, à cause de cette impression que notre insouciance d'alors m'avait aveuglée, que ces jolis souvenirs fleuris, c'était eux qu'on m'avait rejetés dans la gueule et déchiquetés devant les yeux quelques années plus tard.

    Ce n'est qu'une malheureuse histoire de vengeance puérile, pour rappeler à l'autre que ce n'est pas un hasard si tout change. J'ai très bien compris, crois moi. Mais j'ai eu besoin d'être blessante. J'espère que tu ne m'en veux pas trop. J'ai tout mélangé pour te reprocher un passé où tu n'étais même pas celle dont toi tu parlais, où nous n'étions plus vraiment nous. Tout ça parce qu'on n'a jamais osé reparler du mal qu'on s'est fait. Tout ça parce que je n'ai jamais compris comment on a pu en arriver là. C'était un hors-sujet intégral.

    On ne peut en vouloir qu'à ceux qu'on aime.
    Je n'oublie rien, parce que je ne peux pas. Et je me souviens de nous, du sable doux, des plantes vertes trop arrosées et de la robe d'Anastasia. [A ce propos, j'ai retrouvé une de ces photos-dossier...] Je n'oublie rien, le pire et le meilleur, mais il ne faut pas tout mélanger. Renier est un acte conscient, injuste en apparence mais parfois légitime. (Quant aux vécus de conscience, ils diffèrent d'une personne à l'autre sans qu'on n'y puisse rien. Vive la subjectivité !)

    Après relecture, il paraît évident que c'est avec moi que j'ai des comptes à régler, et tu n'y es vraiment pour rien. Je pensais avoir oublié, j'ai cru me connaître.

    Je suis désolée. °


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  • ° Alors là...

    Avez-vous déjà noté à quel point la vie a meilleur goût quand on ne suit pas la recette ? 

    Il y a tellement de vies qu'on hésite à suivre. Se laisser porter. Lâcher prise.
    Dire au revoir. Et retrouver le sourire.
    Mettre le temps sur pause. Ça y est, je comprends ce que ça veut dire.

    Respire.

    Ne pas réfléchir, choisir de vivre. Des picotements plein les pensées.

    I don't think you realise... (ne pas tenir compte de l'histoire du clip, se contenter du refrain que tout mon quartier connaît par coeur grâce à ma fenêtre ouverte) 

    Où ça nous mène ? Mais on s'en fout !

    [Rire de sa haine qui prétend détruire tout.] 

    Rire rire rire, se souvenir, déjà, l'écrire. Et penser à ... =).° 


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  • °A vrai dire je ne sais pas pourquoi j'ai envie de t'écrire, parce qu'on se parle si peu.
    Jamais en fait.
    Jamais pour de vrai.

    Et puis je ne sais pas ce qui t'arrive, tu sais je déteste connaître les secrets des gens, les ragots tout ça.

    Alors pourquoi, je ne sais pas.

    J'écris sans réfléchir, c'est rare quand ça m'arrive. (Un moment suffira, ya pas grand chose à dire...)

    Mais voilà, ça va pas, ça se sent.

    [Je ne sais même pas si tu continues de passer sur ce blog.]

    Tant pis, je te le dis quand même :

    Parle Parle Parle, Exprime toi, tu sais si bien le faire. Pleure s'il le faut, ça fait du bien. Et puis sois heureuse à nouveau.

    J'imagine bien que c'est pas à moi que tu raconteras tout ça, ça ne me regarde pas et puis les occasions manquent. C'est vrai, on n'a pas le temps. Remarque, si jamais un jour tu en as envie, j'en serais honorée. C'est une expression d'un autre siècle mais c'est la seule que j'aie trouvée.

    C'est étrange, cette impression de comprendre ce qui n'est pas dit. De comprendre le sentiment brut, sans en connaître les causes.

    On n'a qu'un monde tu sais, mais des milliards de façon de le regarder. Alors ferme les yeux, laisse toi aller, laisse un peu de temps passer. Puis rouvre les. C'est je crois la seule façon de cicatriser.°


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