• °Si les chats n'existaient pas...°

    ° Si les chats n'existaient pas... dis moi pourquoi j'existerais ? °Je cherche depuis une heure pourquoi j'ai cette chanson déprimante de Joe Dassin dans la tête, sans succès°

    Plus sérieusement. Si les chats n'existaient pas, certes le canapé du salon serait + fréquentable mais ça serait nul parce que je pourrais pas passer 20 minutes affalée sur mon lit en rentrant de cours avec pour simple prétexte d'être coincée par Harry qui pionce sur mes guiboles.

    Ce qui est bien avec les chats, c'est qu'ils n'ont absolument aucun humour, ce qui les place dans l'incapacité de nous reprocher de ne pas en avoir. Par contre ils sont assez susceptibles, mais ça c'est une autre histoire et puis ça nous fait un point commun.

    Passer 20 minutes à gratter le petit creux entre les homoplates d'un chat qui ronronne. Meilleur remède au monde contre l'insatisfaction. Et puis ça laisse le temps de penser. A quoi ? A toutes ces choses insaisissables qui refusent de se laisser plaquer sur le papier quand on se dit qu'il faudrait s'en souvenir.°


  • Commentaires

    1
    Mercredi 26 Septembre 2007 à 11:04
    l
    je veux un chaaaaaaaaaaaaaat! (celui de ma meilleure amie, il bave! c'est une horreure, enfin ce chat c'est Hitler, il est...en plus elle le divinise, c'est énorme à voir, il paraitrait même qu'il a "une conscience développée" (rapel de philo sur les animaux et l'inteligence, vif débat!).
    2
    Mercredi 26 Septembre 2007 à 19:16
    Ouuuh là là, jfais un gros com' moi…
    Aaah les chats… En ce moment, j'ai un chat chez moi, alors je vois ce que tu veux dire. Ça a aussi ses parts sombres, le fait qu'il arrête pas de monter sur la table quand on mange, par exemple, mais c'est vrai qu'on a tous le cliché du type qui lit en silence dans son fauteuil moelleux, au chaud, alors que dehors il pleut, avec un bon gros petit chat qui ronronne sur nos jambes… Oui, enfin moi j'ai ce cliché dans la tête, en tout cas. Nan mais c'est génial les ronronnements, moi ça me relaxe. Sinon, pour ton dernier com de par chez moi : d'abord, bravo, l'entreprise de relire toutes mes notes, c'est assez courageux, je commence à en avoir un certain nombre… Sinon, ton calcul est erronné à un an près : je suis né le six juin 90, ma note avait été écrite en novembre 2005, j'avais donc quinze ans. En plus, je me rappelle très bien du contexte de cette note, j'étais en Seconde, donc voilà, quinze ans. Du coup tu m'as fait relire mon propre article, et ça m'a fait drôle de relire ça, parce qu'aujourd'hui j'ai plus tous ces problèmes, j'ai trouvé des amis à ma hauteur, entre guillemets, alors du coup c'est cool… "°Faudrait donner des bloggs comme sujet d'étude au bac, ça serait fascinant.°" Oui, tu as raison, ce serait fascinant. Mais, cependant, tu sais ce que je m'étais dit, l'année dernière? Eh bien, en français, on avait étudié un petit extrait des Essais de Montaigne, et là, je me suis dit : Vu le principe du bouquin, les Essais de Montaigne, c'est complètement l'ancêtre du blog d'aujourd'hui. Bon, je sais pas si j'aurai le courage de lire les Essais de Montaigne un jour, ça pourrait être intéressant remarque, en tout cas, voilà, je trouve que Montaigne était une sorte de précurseur du blogger. "j'avais la chance(?) de ne jamais être vraiment toute seule" : ça dépend des amis que t'avais. Personnellement, au collège, j'avais un meilleur ami avec qui je passais beaucoup de mon temps, mais c'était horrible, je m'épanouissais pas du tout avec lui, on était complètement aux antipodes l'un de l'autre, j'avais l'impression qu'il m'emprisonnait, et je me suis toujours demandé comment on a fait pour rester aussi proches tant de temps avec toutes ces différences… Bon, à la fois, je cultivais quand même déjà un tempérament très solitaire; au collège, j'étais tout sauf collé à ses basques. En seconde, jme suis retrouvé un tout petit peu sans-amis, jdis un tout petit peu parce que j'avais quand même très bien smpathisé avec une ou deux personnes de ma classe… Mais c'est à partir de la première que j'ai vraiment eu des amis sur la même longueur d'onde que moi, et ça, ça c'est cool! C'est drôle, ce que tu m'as fait remarquer sur l'anorexie : en relisant ma note, j'ai sursauté aux vues de toutes les fautes que j'avais pas corrigé, yen a plein, d'ailleurs j'ai la flemme de corriger, mais par contre, pour l'anorexie, j'avais absolument pas tilté! Je crois que je savias pas que c'était sans h… C'est la honte!… Enfin bon.
    3
    BlackS
    Jeudi 27 Septembre 2007 à 13:16
    ./
    Lol, z’ont tous des chats… c’est à cause du mien que je quitte pas là où je vis, comme quoi, ça a une puissance ce truc. Oui c’est vrai, ça calme, comme bête. Susceptible…le mien se vexe assez clairement, mais il a du apprendre ça plus en détail chez nous. C’est très observateur comme animal, et parfois beaucoup plus empathique qu’un être humain…sans avoir besoin de lui parler. C’est curieux quand même. Ça n’apporte ni solution, ni parole, juste une simple présence, et ça peut suffire. Enfin, moi ça me suffit. Pour cette « insatisfaction », ou du moins, toute sorte de frustrations.Ça apaise, c’est à conseiller à beaucoup de gens, d’avoir une bête à poils à la maison. Il a beaucoup pris de comportements « humains » à force de vivre ici, sans autre chat, mais ça a contribué à mon mutisme. On dirait qu’il a une conscience (psychologique), en même temps ça fait plus d’une quinzaine d’années que j’ai le même x), j’aimerais bien etre à sa place parfois…ça ne se soucie de rien et se contente de vivre.
    4
    Dimanche 30 Septembre 2007 à 13:30
    °Si les chats n'existaient pas°
    °... je n'aurais jamais eu le plaisir de vous lire tous les 3 si longuement. >>>MarieNo : Bien sûr que les chats ont une conscience °nous aussi on a parlé de l'intelligence des animaux en philo. L'an dernier, en initiation. Pas pendant le cours sur cette ****** de démonstration.° Chez nous, ce sont carrément des membres de la famille XD. >>>Boiseime : Tout le monde croit que les chats sont de gentilles boules de poil chaudes avant d'en posséder un ! Personnellement, ça fait longtemps que je suis revenue sur mon jugement. Dans cet article, le chat n'était qu'un prétexte, d'ailleurs c'est très rare que l'un d'eux reste + de 5 minutes sur mes genoux. Pour répondre à ton commentaire sur mon commentaire (=D) j'ai ressenti la même chose il y a quelques jours, quand j'ai décidé de sauvegarder toutes mes notes depuis le début : forcément j'ai relu des passages et c'était bizarre, je retrouvais certaines émotions mais parfois je ne me souvenais même plus d'avoir écrit ça, d'autres fois je me trouvais vraiment naïve (remarque, c'est toujours ce qu'on pense quand on connaît la suite de l'histoire). Bon, j'ajoute Montaigne à ma liste de lectures futures. A propos de cette "chance (?)", je n'ai pas de réponse me concernant. En effet, tout dépend des gens avec qui on passe son temps. Mais peut-être aurais-je été encore + malheureuse si je n'avais eu vraiment personne. Quoi qu'il en soit, le lycée reste l'endroit où j'ai rencontré les gens qui me correspondaient vraiment. Ce qui n'empêche pas quelques accrochages, ce qui nous renvoie au véritable sujet de cette note. Mais qu'importe, tout est rentré dans l'ordre le soir-même °c'est là que je me dis que je les adoube vraiment°. Pour finir, c'est pas la honte de pas savoir écrire un mot comme ça, c'est plutôt rassurant, ça fait partie des mots qu'il faudrait ne jamais avoir à lire ou écrire. >>>BlackS : Entièrement d'accord avec ta description des chats, pendant quelques années on n'en avait plus et ça fait un vide énorme. Non seulement on dirait qu'ils ont une psychologie, mais ils ont une personnalité propre, c'est génial à observer.°
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