• °Vous avez dit philosophe ?°

     ° Je ne sais pas si vous suivez l'actualité cinématographique ces temps-ci, mais si vous êtes entré dans une salle durant les 3 derniers mois, vous êtes forcément au courant que le grand John Rambo est de retour. Pire que le N°3, Silvester Stallone lance le concept du N°4.

    Notons au passage la phrase très philosophique du gus en question à l'intérieur de la bande annonce (entrecoupée de boumbadaboum sur fond de forêt tropiquatoriale -on fait des merveilles de nos jours en studio avec 3 ficus et un ordinateur-) : "Vous avez des armes ? ... Non. Alors vous ne changerez rien." Puis "Je préfère.... [grimaçage intense] Mourrir pour une cause .... cracbadaboum - 134 arbres + 1 tonne de CO2 dans l'atmosphère ... Que vivre pour RIEN ! TACATACATACATA Et il sauva la planète avec une mitrailleuse surhumaine."

    Et quand un chef d'oeuvre de cette ampleur débarque en France, la rédaction du 20heures de France 2 se doit d'interviewer l'immense auteur-réalisateur. Et il disait à peu près ça :

    Le gentil journaliste sourire ultra bright + petite mèche décontractée + plissage gentil des yeux pose une question gentille.
    Sylvester : Oh yeeeeah.
    Traducteur : Sans aucun doute. °J'aime les nuances de la langue française°

    Plus tard, toujours Sylvester : Je me suis dit "Fuck the world" ça montre bien qu'il est en colère.


    Vous pensez être + proche de Rocky ou de Rambo ?
    J'ai gagné en sagesse comme Rocky. Avant j'étais plutôt comme Rambo. On devient philosophe.

    D'où l'idée que la Chaise à Bascule doit répondre "non" quand on lui demande si elle est surnommée Rambo. CQFD !°


  • Commentaires

    1
    Samedi 9 Février 2008 à 16:53
    concept du troisième
    Attends, il a pas inventé le concept du quatrième, puisqu'il a déjà fait le SIXIÈME Rocky !
    2
    Samedi 9 Février 2008 à 18:57
    °Je vois...°
    °Que nous avons ici affaire à un fin connaisseur ! N'en ayant vu aucun, je l'ignorais. Milles zexcuses donc (c'est drôle les gens qui veulent faire bien, qui utilisent une expression compliquée et qui font les liaisons n'importe comment) bien cher Rockyfan !°
    3
    Samedi 9 Février 2008 à 23:58
    ne plus être un numéro
    Rocky et Rambo, le clivage selon Sylvester. Hommes blessés, Rocky est un grand sensible qui se bat selon les règles d'un sport, Rambo lui a choisi le *kung fu fighting* hors la loi. Adrieeeeeeeeenne! contre owouaaaaaaaaaaaaaah!. Ce qui est intéressant, c'est que Rocky c'est le prénom (surnom) du bonhomme, petit garçon fragile, combatif et amoureux, Rambo, c'est le nom du gaillard viril qu'a pas de prénom et qui s'en tape, parce que bah owouaaaaaaaaaaah, quoi. Il a donc fallu attendre les derniers de série pour que s'opère une liaison du petit bonhomme fragile et blessé (représenté par le prénom) et du gars type légionnaire que même que sa maman elle sait plus où il est (force de frappe déshumanisée représentée par le nom). Et nous voici avec, enfin, la liaison, l'intrication des deux facettes avec les derniers nés *Rocky Balboa* et *John Rambo*. Ca renforce la complexité, unifie les facettes clivées des personnalités de nos héros préférés. Sylvester, vers la sagesse? Pour sûr!
    4
    Dimanche 10 Février 2008 à 00:23
    Alors
    que Rocky se fait un nom (ce qui est une reconnaissance, consécration), Rambo, homme torturé, traumatisé par la guerre, devenu bête sauvage par la force des choses, part en quête d'individuation. Sa consécration à lui serait plutôt de devenir un monsieur tout le monde, en processus de Johnisation, finalement. (Que les puristes excusent mon analyse simpliste)
    5
    Dimanche 10 Février 2008 à 00:40
    °Quel diable d'avocate !°
    °T'es bien en train de te livrer à une analyse psychologique approfondie de Rambo et Rocky ? Donc tu contredis ma vision profondément subjective de la nullité de ces films que je n'ai pas vus. Je me goure ou j'me trompe ?°
    6
    Dimanche 10 Février 2008 à 13:25
    Tu verras vite
    (si ce n'est déjà fait) que j'ai la fâcheuse tendance à analyser tout, et surtout n'importe quoi, n'importe comment. Plus le sujet semble dénué de tout intérêt, plus je prends plaisir à le soumettre à une analyse parfaitement sauvage, subjective, et probablement inexacte. (je me suis bien coltinée la tecktonik...). Point important: ne jamais me prendre au sérieux. Donc je ne contredis aucunement ta vision des choses, simplement la nullité ne m'arrête pas. Au contraire, je la trouve même assez fascinante. C'est un exercice assez intéressant au final.
    7
    Dimanche 10 Février 2008 à 13:39
    en passant...
    merci pour le clin d'oeil.
    8
    Mardi 12 Février 2008 à 07:34
    pas fin connaisseur
    lol ! en fait, ya erreur… je sais que rocky balboa était le sixième, et d'ailleurs je dois avouer que j'avais super envie de le voir, mais en fait j'ai jamais vu un seul rocky, ni un seul rambo… Par contre, je sais que le jeu de mots sur " Uranus" "Your anus", largement réutilisé, provient d'un Rambo… Voilà voilà !
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    9
    Mardi 12 Février 2008 à 11:25
    on rigole on rigole mais qu'en est-il vraiment ???
    C'est l'amour de Poe qui est la cause de tout ça. Edgar Allan Poe en personne. Le Edgar, le Allan, le Poe. Celui-là même qui inspira Bob Dylan, dans "Just like tom thumb's blues" dont les notes font écho au murs de l'Assassinat dans la Rue Morgue; celui-là même qui pose (entre autres) sur la pochette de Sgt Pepper's Lonely Hearts Club Band, alors qu'il était déjà cité dans "I'm the Walrus"; celui-là même carrément chanté par Lou Reed sur The Raven; celui-là même cité par Britney Spears dans les dvd de sa tournée; celui-là même que les Green day évoquent d'un "I am the son of a bitch of Edgar Allan Poe" dans St. Jimmy; alors même que Debussy se réclamait déjà de l'inspiration que lui offrait Poe; et j'en passe... Sylvester a toujours voulu faire un film sur Edgar Allan Poe. Seulement il y avait un hic. Lorsqu'il s'engagea pour la production de Rocky, Sylvester Stallone, (qui était plus scénariste qu'acteur... ah ben oui dis comme ça, ça choque), se lia avec les studios par contrat. Il se trouve qu'il réussit à tourner dedans, et à rester maître de son projet, d'un bout à l'autre (faut quand même se dire que Stallone fut nominé à l'oscar du meilleur scénario original l'année suivante, oui je sais, dis comme ça ça choque, et que la très sérieuse guilde des scénaristes américains, considèrent le scénario de Rocky comme l'un des 100 meilleurs du monde - le 76ème il me semble, mais j'en suis pas sûr - et je sais que dis comme ça, ça peut choquer). De toute façon le scenario de Rocky est particulièrement réussi. Il entre dans une grande tradition entre la boxe et le cinéma. Déplacement, cadence, confrontation verticale des corps, représentation de la brutalité, les substances populaires, la projection de la foule sur un destin individuel... le « noble » art a mille raison de se marier au « septième » art, et le cinéma américain ne s'en est jamais privé, amoureux de signer le légendaire "dépassement de soi américain", des self made man aux violences fondatrices, de Gentleman Jim (sûrement pas le premier film de boxe, mais le seul qui me revient à l'esprit là) à Million Dollar Baby, en passant par d'excellents Marqué par la Haine, ou autre Raging Bull, et tout autant d’autres films dont j’aurais rêvé évoqué la latitude cinégénique au cours d’un post endiablé de boxe et de sueur. Ce que je veux dire, c’est que Rocky est plutôt réussi, mais que pour se faire Stallone s’est aliéné d’un contrat qui l’obligera à écrire un nombre précis de scénarios (oui, je sais ça choque), et de mener sa franchise Rocky à 4 épisodes. Le même type de contrat lui sera proposé quand il s’investira à fond dans une histoire très profonde (dans le sens profondeur de la forêt) de vétéran du Vietnam un peu barré dans sa tête qui ne cesse de répéter « c’est pas ma guerre mon colonel », à savoir vous l’aurez compris : First Blood (ou comme on dit chez nous et dans plein d’autres pays : RAMBO). Là ne comptez pas sur moi pour faire l’apologie de Rambo, si Rocky a attendu son numéro 4 pour plonger dans le grand n’importe quoi patriotique, Rambo s’y est lancé dès le numéro 2 (du moins je crois, parce que je l’ai jamais vu). Ne nous éloignons pas d’Edgar Allan Poe. Sly (c’est le ti nom de Sylvester) a toujours voulu réaliser une biographie de Poe… il paraît même que Sly compte finir sa carrière comme un grand réalisateur (rigolez rigolez, mais refaîtes bien une lecture de Clint rêvassant dans les années 80)… seul souci, Sly était toujours tenu par son contrat : il lui restait deux films à écrire, et deux films dans lesquels tourner, avant de redevenir un auteur indépendant (je sais ça choque). Alors il a sorti ses cahiers, ses stylos, ses feutres, et il a écrit Rocky Balboa, puis John Rambo, tout ça parce qu’il voulait faire une film sur Poe… Les noms de ces fins de franchise (du moins on espère) bouclent la boucle. Les mythes redeviennent des hommes, doués d’une gloire individuelle, leurs prénoms, leurs caractères, leurs amitiés viriles ou tendres (parce que Rocky c’est un tendre), inscrits dans une globalité lourde, leurs noms Balboa pour stigmatiser le pauvre rital désoeuvré (et homme de main de la mafia… ce premier Rocky est une perle), ou Rambo véritable cri de guerre d’une machine à tuer dans une guerre qui n’était pas la sienne. Alors on rigole on rigole, mais dans Copland où tout le monde se moque de lui parce que c’est rien qu’un benêt (si si les Harvey Keitel, Robert de Niro, Ray Liotta ou Robert Patrick) hé ben, c’est quand même lui qui gagne à la fin. Bon si vous m’avez bien suivi, je résume : Edgar Allan Poe est responsable de John Rambo.
    10
    Mardi 12 Février 2008 à 11:38
    ah oui
    je sais que "dit comme ça" ne s'écrit pas "dis comme ça"... mais bon hein...
    11
    Mardi 12 Février 2008 à 18:14
    °Ah parce qu'en +°
    °Tu t'es relu ? =D. Bon c'est compris, la prochaine fois je vous envoie le premier jet de tout article un peu subversif afin que vous me donniez votre accord... =) Moi ce que j'en dis, puisque je connais rien au sujet, c'est que c'est peut-être très spirituel comme concept, mais ceux qui vont le voir, c'est rarement des gens qui font d'aussi beaux commentaires. D'où les belles images de promo à mirer ci-dessus. Ceci dit (^^) ya bien des cinglés qui prennent comme modèle le sublime Orange Mécanique. Le vrai problème dans tout ça, c'est qu'y un crétin qui m'a raconté la fin de Double Assassinat dans la rue Morgue avant que je l'aie fini. Et ça, ça rend tout à fait incapable d'apprécier le moindre film de Sly.°
    12
    Mardi 12 Février 2008 à 21:55
    moi ce soir
    plus que jamais ou plus que presque jamais, je ressens comme une absolue nécessité de sublimer Orange Mécanique.
    13
    Mardi 12 Février 2008 à 23:39
    ah mais dès qu'il sort en dvd
    john rambo, je le loue... (dit comme ça, ça choque)
    14
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:01
    °Etat de choc°
    °Max, tu vas faire fuir les gens avec ces discours provocants, un peu de tenue voyons. Rock'in, à propos de Kubrick, faut qu'on parle, j'ai un problème avec Full Metal Jacket.°
    15
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:13
    y a un problème dans
    FULL METAL JACKET ?... impossible
    16
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:17
    °Pas "dans"°
    °C'est juste ma relation au film qui est conflictuelle. Enfin non, c'est pire. Je ne saisis pas ce qui est kubrickien dans ce film. Je ne trouve pas le problème, ça me désespère.°
    17
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:36
    alors comme ça
    que de kubrickien, le personnage central est très "conscient", plus intelligent, plus doué, au-dessus des angoisses ou de l'inconscience de ses camarades; le conditionnement est aussi un thème cher à stanley, militaire, carcéral, spatial, solitaire, angoissé ou instantané, c'est une donnée récurrente; le montage son est très kubrickien; et puis comparé aux autres films sur le Vietnam (les précédents célèbres : Apocalypse Now, Voyage au bout de l'Enfer, traitaient de l'effet de la guerre et de sa barbarie sur l'individu; y compris Platoon contemporain de Full Metal Jacket), Kubrick appuie sur le conditionnement (j'y reviens), comment construire de la folie de masse (tout comme on avait essayé de soigner Alex dans Orange Mécanique); enfin la mort de Cowboy rappellera un élément essentiel de 2001 aux puristes de Kubrick...
    18
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:37
    vous allez encore croire que je me relis
    mais retirez le premier "que" de mon commentaire, merci.
    19
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:44
    °En effet°
    °Grâce à ta lecture et ta relecture, c'est un peu moins obscur. Cela dit, je suis déçue. Une fois de +, on m'avait assurée que ce film était "géniaaal" et qu'il fallait "ab-so-lu-ment que [je] le vois !". Résultat j'ai envie d'aller rallumer le disque dur de la télé pour voir Lolita ou Docteur Folamour, dont personne ne m'a dit qu'ils étaient sensationnels (du moins pas de la même façon que pour n'importe quel autre film).°
    20
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:57
    avec Kubrick
    (j'ai noté ça de par mon grand âge) c'est souvent soit TOUS LES KUBRICK, soit chacun le sien, un bien particulier, moi, je fais partie de la seconde partie : BARRY LINDON et rien d'autre. Mais dans son genre, et son époque (on va vivre après une déferlante de films sur le Vietnam) Full Metal Jacket est extraordinaire, et reste le modèle de multiples films de guerre qui par la suite reprendront le schéma école puis combat (ce qui est (était) en fait le vrai schéma militaire : classes et cohésion puis combat pas classe). Rien que pour cette construction, il vaut le déplacement.
    21
    Mercredi 13 Février 2008 à 00:59
    et puis
    il fallait ab-so-lu-ment voir le premier Rambo, dimanche dernier... :) (dit comme ça, ça choque)
    22
    Mercredi 13 Février 2008 à 01:10
    °Pour être + précise°
    °Je pourrais regarder Orange Mécanique encore et encore et encore avec la même fascinadmiration, j'adore Barry Lindon, Eyes Wide Shut et Shining, mais j'ai un peu de mal avec 2001 -sauf la fin, ce qui contredit mes habitudes pour ma plus grande joie, et puis les premières scènes bien sûr- et je me suis carrément ennuyée pendant la deuxième partie de Full Metal Jacket. Et là, c'est l'abattement total parce qu'avec nos conneries, ya de la pub pour les posters de Rocky en bas de page...°
    23
    rockingchair
    Jeudi 14 Février 2008 à 00:17
    Full Metal Jacket
    Effectivement, je rejoins max concernant ce-qu'il-y-a-de-kubrick dans Full Metal Jacket. La question du conditionnement, bien sûr, et la bande-son encore bien sûr (magistrale comme toujours). Comme souvent, c'est dans l'en-deça et l'au-delà (quoi que ce terme porte à confusion) qu'on trouve kubrick, bien plus que dans le contenu brut. Joker tient un rôle parfaitement singulier. Singulier, dans tous les sens du terme. Il est une sorte d'incarnation de la condition humaine, en tant que porteur de paradoxes tant absurdes qu'universels (Born To Kill associé au signe Peace and Love). Il est selon moi le Sujet du film. Errant entre clivages et déliaison, il est l'illustration de l'aliénation de l'homme, de ses incohérences, de ses revirements. Il apparaît moins conditionné qu'influencé. Une influence subie (agie?) pour sa survie. Parce qu'il a peur. Sa fonction de journaliste n'est pas en ce sens anodine. L'utilisation d'un média, entre mise à distance, dédramatisation, fou-rire, tiers et porte parole d'un non-sens. Le seul probablement qui illustre une conflictualisation encore possible entre Eros et Thanatos (les fameux...) mais déjà très en déclin, très à la limite. Les autres personnages et lieux m'apparaissent davantage comme une personnification de mouvements pulsionnels définis, de fantasmes meurtriers et d'annihilation, comme une amplification d'un processus humain aux confins de la folie. Le retrait de la complexité des personnages (et lieux, j'insiste) permet la mise en exergue de la déshumanisation (de la surhumanisation?), des effets du conditionnement, précisément. Finalement, (mais c'est une analyse complètement personnelle), la plupart des personnages représentent chacun une pulsion, un mouvement psychique exacerbé agissant à tort et à travers dans l'esprit d'un seul homme. A deux doigts de ne pas être fou. La complexité de l'Homme décliné à travers une multitude de personnages. Finalement, la guerre du vietnam n'est que toile de fond pour Kubrick (même si bien sûr elle n'est pas superflue). Car le sujet de Kubrick, c'est l'homme (oui y a rien d'exceptionnel). Et plus particulièrement l'homme face à ce qui échappe, l'homme petit rat de laboratoire. Le Vietnam du film a été entièrement réalisé en studio pas du tout vietnamien. Ici ou ailleurs, l'histoire reste la même. Kubrick fait dans l'écholalie, car Stanley est profondément heurté et obsédé par l'homme et son inconsistance consistante. Encore une fois, tout cela n'est bien sûr qu'une analyse toute personnelle.
    24
    hungy
    Jeudi 14 Février 2008 à 20:43
    Mr Rambo svp
    En attendant Rambo 4 à l'air de marcher très fort et ce dernier épisode clos très bien la série. Personnellement j'ai adoré tout comme le premier, du pur grand moment de cinema d'action hollywoodien avec des bons acteurs americains comme on les aimes, que demander de + ? j'ai pris mon pied pendant tout le film.
    25
    Jeudi 14 Février 2008 à 21:33
    --> hungy
    °Oh moi je demande rien, chacun va voir ce qu'il veut au cinéma, c'est peut-être un très bon film d'action, je ne l'ai pas vu. J'ai juste un peu de mal à apprécier les films d'action, en général ça ne me parle pas du tout (plein d'explosions avec un scénario extra-light, ça m'ennuie + qu'autre chose, heureusement ils ne sont pas tous comme ça). Même si je ne suis pas très tendre avec ce cher Monsieur, je ne cherchais pas à descendre son film (puisque je ne l'ai pas vu), plutôt son interview et sa bande-annonce racoleuse. D'ailleurs ça n'est pas parce qu'un film "marche bien" qu'il est bon (et l'inverse reste vrai).°
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